5 mai 2013

Un voyage dans l’espace pour un développeur

Par Jean-Marc Amon

J’ai entendu une fois un mec dire que le développement, le génie logiciel enfin tout ce qui concerne la programmation était dépassé, que c’était des métiers en voie de disparation. Alors qu’on fait c’est parce qu’il n’y connait rien.

J’étais un novice, je débutais à peine et mon ambition de devenir programmeur a un peu souffert jusqu’au jour où je découvre que c’est même pas quelqu’un à prendre au sérieux. Il vit de prétention et de réputation sans preuves, sans oeuvre… comme quoi l’avenir c’est les réseaux, tout est réseaux, pourtant il faut bien des applications pour gérer et même utiliser les réseaux non?.

En plus réseaux ou pas comment on peut faire des études informatique, devenir ingénieur informatique sans rien connaître au codes? On peut ne pas en faire une spécialité certes mais… J’espère vraiment qu’il se reconnaîtra s’il tombe sur ce article…

Désolé je me suis aller, et si on revenait à nos moutons

Tout le monde sait qu’aujourd’hui la technologie connaît un essor vraiment…exponentiel surtout l’informatique. Et qui parle d’informatique parle de développeurs, c’est la ruée vers l’or, à qui mieux mieux. Les grandes entreprises à la recherche de la perle rare sont souvent prêts à investir de grosses sommes d’argent pour s’offrir les talents des meilleurs développeurs.

Une station spatiale

Certains ne lésinent même pas sur les moyens comme cette Start Up américaine qui offre, en plus de tous les avantages qui sont liés à l’emploi, un voyage dans l’espace au développeur qui fera ses preuves.

Le meilleur développeur, choisit à la suite d’une sorte de stage de 3 mois avec plusieurs autres candidats, aura à choisir soit un voyage dans l’espace soit empoché la somme de 200 000$.

De quoi à donner de la suite dans les idées.

 

Que choisiriez vous, un voyage dans l’espace ou la somme de 200 000$ ?

Je crois que je vais me contenter de rêver à cette somme, bien qu’un voyage dans l’espace serait aussi un autre rêve d’accompli.

Article paru dans le Los Angeles Times.